đ± Un tyran de prison se moque d’un nouveau dĂ©tenu, ignorant sa vĂ©ritable nature et ses capacitĂ©s. đ±
Quand Marcus arriva Ă la prison par ce froid lundi matin, personne ne lui prĂȘta attention. Il semblait petit, rĂ©servĂ©, presque invisible, comme quelqu’un qui ne survivrait pas longtemps dans cet endroit impitoyable. Les gardes l’appelaient « FantĂŽme », et les autres dĂ©tenus l’ignorĂšrent. Tous, sauf un : Big Ray, le soi-disant Roi du Quartier. Ray, un tyran qui rĂ©gnait par la peur, dĂ©cida de faire de Marcus sa nouvelle cible lorsqu’il le vit manger seul, la tĂȘte baissĂ©e.
Un aprĂšs-midi Ă la cafĂ©tĂ©ria, Ray renversa brutalement le plateau de Marcus et lui versa une tasse d’eau froide sur la tĂȘte. Des rires Ă©clatĂšrent. Marcus resta calme, sans un mot, plantĂ© lĂ , l’eau lui coulant sur le visage. Il se dĂ©tourna lentement et s’Ă©loigna, immobile.
Ce silence le faisait paraĂźtre faible. Mais Marcus n’Ă©tait pas ce qu’il semblait ĂȘtre. Il avait passĂ© quinze ans Ă perfectionner le kung-fu de Shaulin : discipline, contrĂŽle, force intĂ©rieure. Il n’Ă©tait pas lĂ pour se battre, mais si nĂ©cessaire, il savait comment y mettre fin.
Les jours passĂšrent. Ray, de plus en plus agressif, multiplia les provocations. Il se croyait invulnĂ©rable. Un jour, au gymnase, Ray franchit la ligne. Il ordonna Ă Marcus de se soumettre Ă sa volontĂ©, de s’incliner devant lui.

Marcus leva les yeux, calme et déterminé. Puis, sans un mot, Ray attaqua. La suite choqua tous ceux qui en furent témoins.
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Un tyran de prison se moque d’un nouveau dĂ©tenu, ignorant sa vĂ©ritable nature et ses capacitĂ©s.
Marcus, dĂ©tenu silencieux et discret, Ă©tait loin d’ĂȘtre ce qu’il semblait ĂȘtre. Ă son arrivĂ©e Ă la prison, personne ne lui prĂȘta attention. Les autres dĂ©tenus, et surtout Big Ray, le tyran du bloc D, le considĂ©raient comme une proie facile. Ray, imposant et cruel, exerçait son pouvoir par la violence et l’humiliation, et avait dĂ©jĂ choisi Marcus comme prochaine victime.
Ce que Ray ignorait, cependant, c’est que Marcus avait passĂ© quinze ans Ă maĂźtriser les arts martiaux. Il n’Ă©tait pas lĂ par hasard.
Au dĂ©but, Marcus subissait en silence l’humiliation de Ray : plateaux renversĂ©s, insultes et menaces. Mais il ne rĂ©agissait pas. Jusqu’au jour oĂč Ray franchit la ligne.
Un tyran de prison se moque d’un nouveau dĂ©tenu, ignorant sa vĂ©ritable nature et ses capacitĂ©s.
Au gymnase, Ray tenta de forcer Marcus Ă cirer ses chaussures. Lorsqu’il attaqua, Marcus rĂ©agit avec une telle rapiditĂ© et une telle prĂ©cision que tous les tĂ©moins furent stupĂ©faits. En quelques secondes, Ray Ă©tait Ă terre, gĂ©missant.
Le silence qui suivit fut empreint de respect. Marcus, sans perdre son sang-froid, dit : « Je ne veux pas d’ennuis, mais je ne suis le punching-ball de personne.»
Ce jour-lĂ , Marcus gagna le respect des prisonniers, mĂȘme des gardiens. Son combat n’Ă©tait pas motivĂ© par la rage, mais par le contrĂŽle. Il devint un symbole de force tranquille et de discipline.
Un tyran de prison se moque d’un nouveau dĂ©tenu, ignorant qui il est et de quoi il est capable.
Au lieu de rechercher la violence, il lui enseigna la maĂźtrise de soi. Peu Ă peu, Ironwood changea. Mais le monde a toujours ses ennemis. La bande de Ray, jalouse de son influence, l’encercla un soir aprĂšs l’entraĂźnement. Mais cette fois, Marcus Ă©tait prĂȘt.